понеделник, 8 декември 2008 г.

Danger latent

Danger latent : 18,7 pour cent des garçons du niveau secondaire à Montréal ont déjà apporté une arme à l'école. Hors des limites de l'école, cette proportion passe à 41,2 %.
Enfants : Selon une enquête menée par le magazine «Today's Parent», la ville de Montréal, en raison de son taux de criminalité élevé, sa situation économique et du trafic de drogue, serait la pire ville au Canada pour y élever des enfants. La meilleure ? Québec.
Pauvreté : 18 % des enfants de 0 à 5 ans y vivent de prestations d’assurance sociale. Le tiers des familles avec des enfants est composé d’un seul parent. Montréal affiche le plus haut taux de familles monoparentales au pays.
Pauvreté : Un petit Montréalais sur trois ne mange pas toujours à sa faim. C'est ce qu'estime Moisson Montréal, qui continue, même pendant l'été, à offrir des lunchs gratuits à près de 600 enfants inscrits à des camps de jour. Trente-cinq pour cent des enfants montréalais vivent en milieu défavorisé.
Baise-moi…Quatre nouvelles personnes contractent le sida chaque jour à Montréal. 24% des nouveaux cas d'infection sont des femmes.
Prostitution : Montréal est une destination de choix pour le tourisme sexuel et les filles qui s’y adonnent à la prostitution sont de plus en plus jeunes, affirme D. M. sergent détective en charge des enquêtes à la Section de l’exploitation sexuelle de la police de Montréal. Il est possible, à Montréal, de trouver des prostituées sur Internet, dans les journaux ou dans les clubs de danseuses, ce qui constitue un fait unique en Amérique du Nord.
Love-moi : Selon un récent sondage national, le quart des femmes canadiennes consacrent autant de temps à se sécher les cheveux qu'à faire des câlins à leurs partenaires. En fait, une femme sur quatre a répondu qu'elle est autant « attachée » à son séchoir qu'à son partenaire…
Top pollution : Québec, et Montréal, se retrouve dans les dix premières positions d'un classement établissant les 50 premiers pollueurs au Canada. Elles sont respectivement au 3e et 8e rang, en raison de l'importance des rejets d'ammoniac et de phosphore des usines de traitement d'eaux usées. Le phosphore est produit en grande quantité par les excréments…

Bang bang : En 2005, 352 crimes ont été perpétrés à Montréal avec une arme à feu, une hausse de 25 pour cent par rapport au total de 281 de l'année précédente. Le nombre d'agressions sexuelles s'est élevé à 17 050, le total le plus élevé en 20 ans. En 2004, 16 007 crimes du genre avaient été commis.

Réalité : Une personne sur deux, au Québec, ne voudrait pas vivre à Montréal, alors que les gens de Québec choisissent à 52% de demeurer dans leur ville. (Sondage 2005)
Montréal n'est pas la ville préférée des Canadiens : Un sondage Angus Reid démontre que seulement 10% des Canadiens souhaiteraient vivre à Montréal. Par ailleurs, 24% des gens ont dit préférer vivre à Vancouver. Toronto arrive au deuxième rang avec 15% suivi de Calgary à 12%. Québec et Ottawa sont ex aequo à 8%.
Les frustrés du volant : Montréal est la ville au Canada où les automobilistes sont les plus violents. L'enquête de la compagnie H.B. Gestion révèle que 37% des automobilistes de la région de Montréal démontreraient des signes de rage au volant, comparativement à 23% à Calgary et 22% à Toronto. À Montréal, les accidents automobiles tuent chaque année 36 piétons et 5 cyclistes. Il se tue 25% plus de piétons à Montréal que dans le reste du Canada.
Gangs : Il y a à Montréal une vingtaine de gangs de rue majeurs comptant de 350 à 500 membres. Une trentaine de gangs émergents, qui peuvent durer un an avant de se dissoudre et de faire place à un autre groupe. Les gangs sont surtout divisés en deux groupes : les rouges, ou Bloods, et les bleus, ou Crips. Environ 20% des membres de gangs de rue ont entre 10 et 16 ans, 60% entre 17 et 28 ans et 20% entre 29 et 35 ans. Durant les six premiers mois de 2006, ils ont été responsables de 8 meurtres et de 29 tentatives de meurtre. Durant le même laps de temps, la police leur a saisi 52 armes à feu, 97 armes blanches, 100 000 $ en argent, 2,5 kilos de marijuana, 1,2 kilo de cocaïne et 6 kilos de crack…
Montréal, la ville la plus pauvre au Canada : Montréal est la ville au Canada où le taux de pauvreté est le plus élevé. Selon un rapport du Conseil canadien de développement social, le nombre de ménages montréalais vivant sous le seuil de la pauvreté était de 41% en 1995. Il s'est accru de 34% pour l'ensemble du pays.
Politesse : D’après une vaste enquête menée par Sélection du Reader's Digest dans 36 villes à travers le monde, Montréal, serait l'une des villes les moins « courtoises » de la planète. Selon Reader's Digest, les New-Yorkais seraient les plus polis, suivis par les Zurichois, les Torontois et les Berlinois. Les Montréalais se retrouvent au 21e rang, après les Parisiens qui se pointent au 19e rang.
Pauvreté : La pauvreté a augmenté en flèche chez les jeunes familles. En 1997, 46,1 pour cent des familles dont le chef était âgé de moins de 25 ans vivaient sous le seuil de faible revenu établi par Statistique Canada, comparé à 21,7 pour cent en 1981. Pendant la même période, le taux de pauvreté des familles de 25 à 34 ans est passé de 12 pour cent à 18,9 pour cent.
Pauvreté : Les statistiques (2004) de la Commission scolaire de Montréal révèlent que 36% des quelque 78 000 élèves inscrits en formation générale vivent sous le seuil de la pauvreté.
Au secours : D’après l'Association des hôpitaux du Québec, les erreurs médicales tuent plus de 2000 personnes chaque année au Québec, soit l'équivalent de cinq écrasements de Boeing 747. Les erreurs de médicaments se trouvent au sommet de la liste des accidents, alors que la négligence des médecins ne serait en cause que dans deux pour cent des cas.
J'ai soif ! : L'usine de traitement des eaux usées de la Communauté urbaine de Montréal, est la cinquième source de pollution au Canada. C'est ce que révèle un rapport du "Canadian Institute for Environnemental Law and Policy" L'usine a rejeté dans le fleuve St Laurent 10 tonnes de chrome en 1988 et près de 8 tonnes en 1999. Le chrome est soupçonné d'être cancérigène.
Piquer c'est voler ! Montréal arrive au premier rang au Canada pour les vols dans les résidences, suivie de la ville de Québec.
Nul : La compétitivité de Montréal laisse à désirer au plan international. Montréal se classe 44e sur les 65 villes de l'OCDE en terme de PIB réel par habitant.
Sport : Selon le magazine "Sporting News", Montréal se classe au dernier rang des 375 villes sportives nord-américaines. C'est la ville de New York qui est considérée comme la meilleure. Toronto arrive au 20e rang.
La qualité de l'air se détériore à Montréal : Elle est en fait pire que par les années passées. La pollution automobile a atteint des niveaux de concentration très élevée avec le temps chaud. Le service d'environnement de la CUM indique que la qualité de l'air a été mauvaise pendant 15 % du temps cet été. Samedi, on a remarqué un indice de 61,11 points au-dessus de la norme de 50, niveau de pollution atmosphérique considéré comme sérieux.
Méga pollution : Les villes côtières et portuaires canadiennes se classent parmi les plus grands responsables de la pollution marine sur notre planète. Les villes de Victoria, Montréal, Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, Halifax, Charlottetown et Saint-Jean, Terre-Neuve, sont de grands bols de toilette qui déversent chaque jour dans les eaux qui les entourent des immondices, des produits toxiques et des excréments avec un minimum ou même sans aucun traitement, précise le rapport du Fonds de défense légale du Sierra Club. Montréal reçoit pour sa part une cote F pour le déversement annuel dans le fleuve Saint-Laurent de 3,6 milliards de tonnes d'eaux usées non traitées
Rien ne va plus : Des enquêtes épidémiologiques ont démontré que chaque année, plus de 1900 jeunes asthmatiques ou personnes âgées meurent prématurément des séquelles de la pollution atmosphérique, principalement du smog, dans la région de Montréal, 4000 à l'échelle du Québec et 16 000 dans l'ensemble du Canada.
Cadavres en plus : Selon la fondation David Suzuki, la pollution atmosphérique serait responsable de 1900 décès prématurés à Montréal chaque année. La fondation arrive à cette conclusion en se basant sur des études gouvernementales. Principales victimes : les enfants et les personnes âgées. La ville de Montréal n'a pas nié...
Harcèle-moi...Statistiques Canada, révèle que Montréal est la deuxième ville au Canada pour les cas de harcèlement sexuel, derrière Saskatoon. Quelque 75% des victimes de harcèlement sont des femmes, et la plupart des victimes connaissent leur agresseur.
Soif dangereuse ! La chambre de commerce du Montréal métropolitain dénonce la qualité de l'eau potable mise à la disposition des Québécois. Les dirigeants de la Chambre ont souligné que les Québécois "boivent une eau potable produite selon des normes considérablement inférieure aux normes américaines ou aux normes suggérées par le gouvernement du Canada"
Fuites : Les réseaux d’aqueduc et d’égout de la ville de Montréal sont dans un état de désuétude alarmant. Ce n’est pas pour rien que les tuyaux pètent de partout dans les vieux quartiers de la ville. Actuellement, 33% du réseau d’aqueduc est périmé et exige une réhabilitation à court terme. Les chiffres ne trompent pas: Montréal produit en moyenne 1400 litres d’eau par jour par personne, contre 600 à Toronto. La différence réside en grande partie dans les fuites.
Criminalité dans le Métro : Une étude universitaire révèle qu'il se produit environ deux agressions ou vols par 100 000 usagers chaque heure dans et aux abords des stations de métro. Le nombre de crimes y est en hausse de 46% depuis 1995.
Dernier métro : En moyenne, deux personnes se suicident, ou tentent de le faire chaque semaine dans le métro de Montréal.
Marche ou crève : Selon la Direction de santé publique de Montréal Centre, les résidents des quartiers pauvres de l'île de Montréal ont une espérance de vie de quatre ans et demi plus basse que ceux qui demeurent dans les quartiers plus riches. Le sida touche davantage ces résidants. L'écart n'a pas changé depuis 86.Risque maximum de pauvreté : Une étude révèle que les risques d'être pauvre sont plus grands si vous êtes jeune et si vous habitez à Montréal. L'enquête du Conseil canadien de développement social rapporte que le taux de pauvreté aurait fait un bond de 34 % chez les jeunes de Montréal entre 1990 et 1995. L'auteur de la recherche fait remarquer que non seulement les pauvres sont plus nombreux, mais qu'ils sont plus que jamais enlisés dans leur misère.
Les maîtres de la cité : C'est au Québec que les Hells Angels sont les plus violents de la planète. Ces motards sont à l'origine d'une guerre de gangs qui a fait 150 morts depuis six ans à Montréal et Québec. Avant l'entrée en scène des Hells Angels, les Rock Machine et leurs alliés contrôlaient une bonne partie du trafic de drogue dans l'île de Montréal. Dans le centre-ville, on estime le seul marché de la cocaïne à cinq millions de dollars. C'est sans compter la vente de haschisch et de marijuana, de PCP et autres drogues dures, ainsi que les activités illicites périphériques comme la prostitution, l'alcool et le jeu.
Big Bizness : Chaque jour à Montréal, les Hells Angels vendent 80 500 doses de cocaïne. En moyenne, la pureté de la drogue est à 25 %.
Entrée libre : Selon le comité permanent de lutte aux drogues du Québec, Montréal est avec Toronto et Vancouver, l'un des trois principaux points d'entrée de l'héroïne et de la cocaïne destinées à être consommées au Canada ainsi que l'un des premiers points de transit pour les stupéfiants destinés aux États-Unis.
Allo ! Montréal, capitale nord-américaine de la fraude par téléphone. L'appétit des fraudeurs montréalais a mérité à la ville la réputation de capitale de ce genre de crime en Amérique. Un titre que ne conteste pas la Gendarmerie Royale du Canada. Montréal abriterait jusqu'à 400 installations temporaires servant à la sollicitation frauduleuse téléphonique.
Au voleur ! L'aéroport de Montréal (Dorval) est une véritable passoire qui profite aux voleurs de véhicules, pire encore que Miami, New York et Los Angeles. L'an dernier, 222 véhicules ont été volés dans ses stationnements. L'aéroport international de Dorval remporte haut la main le triste championnat des vols de voiture dans les aéroports d'Amérique du Nord.
Mon auto ! En 2004, Montréal est devenue la capitale Nord Américaine du vol de voiture. Une auto y est volée en moyenne toutes les 12 minutes. Seulement 49% des véhicules sont retrouvé.
Livraison à domicile : La livraison de drogue à domicile prend un essor considérable dans l'île de Montréal. Depuis cinq ans, pas moins de 75% de la vente de cocaïne se fait directement chez le consommateur. Selon les secteurs de la ville, tout est disponible: héroïne, haschisch, marijuana, drogues chimiques. "Mais le gros de ce marché repose sur la cocaïne, très populaire et surtout plus rentable".
Des coins dangereux à Montréal : Selon une enquête du Journal de Montréal, il est très risqué de circuler la nuit dans certains endroits de Montréal. Cinq endroits sont particulièrement dangereux. Il s'agit de la rue Ontario est, de l'intersection Saint-Laurent/Ste Catherine, de la ville de Montréal Nord, de la rue Ste Catherine est et du centre-ville. C'est en tout cas l'avis de policiers, d'ambulanciers et de chauffeurs de taxi interrogés. La présence accrue des gangs de rues constitue une part importante de la criminalité urbaine.
Le danger augmente ! Le nombre d'agression physique a augmenté de 6% à Montréal l'an dernier. Le centre-ville reste l'endroit le plus dangereux. Suivent les quartiers Hochelaga Maisonneuve, le sud du plateau Mont-Royal et le district Pointe St Charles, St Henri, Petite Bourgogne. Les agressions sexuelles sont plus fréquentent dans les quartiers plus pauvres, Hochelaga Maisonneuve et St Henri. Les crimes reliés à la drogue et à la prostitution se concentrent dans le centre sud et le centre-ville.
Peur du crime : Plus de 40 % de la population à Montréal ne se sent pas en sécurité le soir dans les transports en commun et les lieux publics. C'est ce que révèle une étude des dirigeants de la santé publique de Montréal sur la peur du crime.
Dégradation : Le nombre de crimes contre la personne aussi appelé « criminalité de violence » a augmenté de 12,8 % depuis 1997, année d'implantation de la Police De Quartier. Idem pour les « incivilités » le bruit, le vandalisme et la mendicité, si l'on se fie à la perception des Montréalais. De 1997 à 2001, la proportion de citoyens jugeant qu'il y a des problèmes d'incivilité est passée de 47 % à 54 %. Et la proportion de Montréalais qui déplorent des problèmes de gangs dans leur voisinage a grimpé de 29 % à 34 %.
Les jeunes de la rue : Le taux de mortalité des jeunes de la rue à Montréal est douze fois plus élevé que celui de l'ensemble des jeunes Québécois. C'est ce que révèle une étude de la direction de la santé publique de Montréal Centre sur la propagation du sida chez les jeunes de la rue. Des 500 jeunes suivis pendant deux ans, dix sont morts. Les principales causes de décès sont le suicide et les surdoses de drogues. 15.000 jeunes au Québec sont abandonnés dans la rue. 25 % ont moins de 13 ans.
Hausse du nombre de jeunes dans la rue : Le nombre de jeunes qui errent dans les rues à Montréal va en s'accroissant...L'organisme « Le Bon Dieu dans la rue » estime que ce nombre a doublé depuis l'hiver dernier, passant de 2 500 à 5 000. Selon l'organisme, la plupart de ces jeunes sans-abri proviennent de l'extérieur de Montréal.
Métier à très haut risque ! Un enseignant est agressé tous les deux jours dans les écoles de Montréal. Dans 30 % des cas, la police a dû intervenir. On ne parle plus ici d'impolitesse et de vulgarités. Les jeunes sont passés aux agressions physiques. Bousculades, cheveux arrachés, morsures, gifles au visage, frappés à coups de pied et coups de poing et même avec des objets, comme des dictionnaires ou des chaises. Certains enseignants voient même leur tête mise à prix.
Port dangereux : Selon le Comité sénatorial sur la défense, le port de Montréal est infesté de criminels et constitue une véritable passoire. Le rapport accablant du comité précise que les organisations du crime organisé sont présentes dans les Ports de Montréal, d'Halifax et de Vancouver et sont très actives dans les domaines de la drogue, des véhicules volés, du tabac, de l'alcool, du vol de conteneurs et du trafic d'êtres humains. À Montréal, les membres du comité ont découvert que 15% des travailleurs et 36 % des inspecteurs du Port de Montréal possèdent un casier judiciaire…
De plus en plus à risque : L'alliance des professeurs de Montréal soutient qu'un nouveau cas d'agression sur un de ses membres survient chaque jour dans une école de la Commission scolaire de Montréal. Environ 66 % de ces cas comportent une forme d'agression physique.
Déclin du français à Montréal : Le français est moins parlé à Montréal depuis 25 ans. C'est ce que révèle une étude de l'institut national de recherche scientifique. Le nombre de foyers où on parle français, sur l'île de Montréal, a chuté de 67 à 55 % entre 1971 et 1996.
Crash... Vancouver et Calgary ont maintenant devancé Montréal comme ville aéroportuaire canadienne. Selon un classement de l'Association du transport aérien international, les voyageurs internationaux préfèrent Toronto, Vancouver et Calgary. Les aéroports de Montréal sont passés du 75e au 90e rang mondial entre 1992 et l'an 2000. En comparaison, Toronto se classe au 27e rang. Si on enlève l'aéroport de Mirabel, Dorval sa classe au 106e rang, soit derrière Saint-Denis Gillot à l'île de la réunion ou Myrtle Beach en Caroline du Nord...
Malaaaade ! La ville de Montréal arrive 13e sur une liste de 16 villes canadiennes classées par le magazine MacLean's quant à la quantité et la qualité des services de santé à la population. C'est la ville d'Edmonton, en Alberta, qui s'est classée première alors que la ville de Québec apparaît au 4e rang.
Vraiment malaaaade : Les troubles mentaux tels que la phobie, l'anxiété et la dépression nerveuse sont en nette progression à Montréal et près d'une personne sur 5 en souffre quotidiennement. C’est ce qui ressort d'une vaste enquête menée auprès de 4 700 adultes montréalais par la direction de la santé publique de Montréal.
De plus en plus malaaaade ! : Les Montréalais présentent un bien triste état de santé. Ils sont malades, gravement malades. Il y a, à Montréal, plus de suicides, de fumeurs, de mortalité due au cancer et de mortalité évitable que dans les autres grandes villes canadiennes. C'est ce que révèle le rapport annuel de la régie régionale de la santé (2002). En santé mentale, la situation est aussi alarmante. Le taux de mortalité par suicide était de 14,6 personnes par 100 mil habitants en 1996, contre 9,8 à Ottawa. Les Montréalais sont aussi plus stressés. 30 pour cent des habitants de l'île disent souffrir de stress, comparativement à 24 pour cent pour les Torontois.
Toubib or not toubib : D'après l'Institut canadien d'information sur la santé, le ratio de médecin généralistes est de 120 pour 100 000 habitants à Montréal, contre 144 à Toronto et 172 à Vancouver.
Record de fumée : Montréal détient le triste record des cancers du poumon au Canada. 24 % des Montréalais fume. Le taux le plus élevé de toutes les villes au pays. Pratiquement, un Montréalais sur quatre meurt chaque jour du cancer du poumon.
Clandestins : Il y aurait au moins 5 000 immigrés illégaux à Montréal. 3 500 réfugiés clandestins ont été retrouvés l'an dernier dans la région métropolitaine puis expulsés. Les procédures d'expulsion ont coûté plus de deux millions de dollars aux contribuables en 1998.
Mourir à Montréal : Par une température de -25 degrés, un itinérant est mort de froid dans l'indifférence la plus totale des passants au métro Place d'Armes à Montréal. Madame Anne Lavictoire a tenté de lui porter secours, mais, Gino Laplante, 38 ans, était trop faible et il est décédé dans ses bras. À plusieurs reprises, elle a demandé l'aide de passants pour signaler le 911 mais ils n'ont rien fait. Selon le service de police, une douzaine d'itinérants meurent de froid chaque hiver à Montréal.
Hécatombe : Avec plus de 1300 personnes qui s’enlèvent la vie chaque année dans la province, le taux de suicide du Québec est l’un des plus élevés au monde. Il s'agit d'ailleurs de la première cause de décès chez les moins de 25 ans. Ainsi, 186 jeunes Québécois ont mis fin à leurs jours en 2001. Selon les statistiques, cinq personnes se suicident chaque jour au Québec, soit quatre hommes et une femme. Les derniers chiffres font état de 1323 suicides en 2001. Depuis 1975, le nombre de suicides chez les enfants de 14 ans et moins a triplé au Québec. Chez les 11-12 ans, le nombre de suicides a triplé en trois ans seulement, de 1995 à 1998. Au Québec, le suicide est la première cause de mortalité chez les hommes de 20 à 40 ans. De 1989 à 1998, le suicide a fait plus de victimes chez les Québécois de cette tranche d'âge, que les accidents de la route, le sida, le cancer ou les autres maladies. Chez les moins de quarante ans, le suicide est devenu la première cause de mortalité. Loin devant les accidents de la route, le cancer et le sida. Au cours des 25 dernières années, 30 000 personnes se sont suicidées au Québec Les Montréalais se suicident dans une proportion deux fois plus élevée que les Torontois.
Québécois en voie de disparition : Le nombre de nouveau-nés au Québec n'a jamais été aussi bas depuis le début des années 1900. Selon l'Institut de la statistique, l'indice québécois de fécondité n'est que de 1,4 enfant par femme, alors qu'il devrait être de 2,1 pour assurer le renouvellement des générations.
Méchante Nana : Au Canada, de 1989 à 1999, selon un profil sur les femmes réalisé par le Centre canadien de la statistique juridique, le taux de crimes de violence commis par les femmes a augmenté de 41 % comparativement à une diminution de 7 % chez les hommes.
Je me tire : Le suicide est en hausse chez les filles au Québec, révèle une étude réalisée parmi les 10 à 19 ans. Alors que le ratio de suicide était de 1 fille pour 5,7 garçons entre 89 et 92, il est passé à une fille pour 2 garçons en 1998. Les spécialistes n'arrivent pas à expliquer ce phénomène, si ce n'est pour dire que les filles imitent de plus en plus les garçons...
Heureux de vivre à Montréal ? Bof...

ЛЕНИН:“ХОРАТА СА СТРАХЛИВИ ЖИВОТНИ, КОИТО СЕ НУЖДАЯТ ОТ ГОСПОДАРИ БЕЗ СКРУКУПУЛИ!”

ЛЕНИН:“ХОРАТА СА СТРАХЛИВИ ЖИВОТНИ, КОИТО СЕ НУЖДАЯТ ОТ ГОСПОДАРИ БЕЗ СКРУКУПУЛИ!”

Селяните са най - големият враг на революцията”, твърдеше вождът-Едно интервю на Джовани Папини. Мъчих се цял месец, но накрая успя Пристигнах в Русия само, за да се запозная с този легендарен мъж, и не и исках да се върна в Италия, преди да съм го видял и чул отблизо। Бях убеден, че той е сред малцината на този свят, които заслужават да бъдат видени и чути। Разбира се, за да стигна до него, трябваше да похарча цяло състояние - почти двадесет хиляди долара - подаръци за съпругите на комисарите, бакшиши за безброй чиновници и дарения за няколко сиропиталища за “деца на революцията”। Не съжалявам сега за тези пари...Казаха ми, че Владимир Илич е доста болен и уморен и че не е в състояние да приеме никого, освен своите приближени. Вече не живеел в Москва, а в някакво село, в околностите на столицата, в бивше господарско имение.В петък вечерта, когато всички формалности и пречки отпаднаха, телефонът извести, че ще мога да бъда приет в неделя. Бяха съобщили на Ленин, че съм помогнал финансово на НЕП-а, и той благоволи да ме види.Прие ме неговата съпруга - дребна, пълна, мълчалива и доста грозна жена, която ме погледна, както болничните сестри гледат всеки нежелан посетител на тяхна територия. Заварих Ленин на малък балкон, седнал до голяма маса, покрита с листове, изпъстрени с рисунки. Приличаше на осъден, на когото остава твърде малко живот, комуто са разрешили да си губи времето и дори да се занимава с глупости. лицето му приличаше на бучка старо сирене - на пръво поглед твърдо, а всъщност полуразвалено и трошливо. Неприятните му устни стискаха два реда едри и жълти зъби. Продълговатият му череп беше съвсем оплешивял. Хищните му азиатски очи се криеха под набръчкани като стар пергамент клепачи. Въртеше някакъв сребърен молив между пръстите си: ръцете му бяха едри и груби - лапи на мужик, но веднага се виждаше, че са ръце на човек, близо до смъртта. Никога няма да забравя ушите му, напомнящи излъскана слонова кост, които потрепваха от напрежението му да улови всяка дума...Първите три минути от нашия разговор бяха доста тежки. Ленин се оптиваше да ме прецени, макар да си придаваше определено разсеян, незаинтересован вид. А аз, уморен и малко притеснен, нямах смелостта да му задам въпросите, заради които всъщност бях дошъл чак до тук, в Съветска Русия, тази полудива, полуазиатска страна. И все пак, избрах нещо - в смисъл, че е направил много за “нова Русия”. Тогава полумъртвото лице се оживи, по- точно се изкриви в саркастична усмивка:


- Всичко беше направено - възкликна Ленин - да, всичко беше направено, преди да дойдем ние! Чужденците и глупаците вярват, че сме постигнали нещо ново. Велика заблуда! Болшевиките само се префасонираха, промениха външно стария царски режим, който е единствено възможе за страна като Русия. Защото как по друг начин могат да се управляват повече от сто и петдесет милиона прости хора - без бой, без шпиони, без тайна полиция, терор, затвори и бесилки? Ние сменихме само класата - базата на нашата власт. Старият режим се държеше на 60 000 помешчици и около 40 000 чиновници - общо около 100 000, докато сега са близо 2 000 000 пролетарии и комунисти. В този смисъл това е прогрес, да, голям прогрес, защото привилегированите се много повече. Но все пак, деветдесет на сто от населението, дори повече, не получи нищо съществено от тази промяна.- Тогава какво ще кажете за Маркс, за неговите идеи за прогреса?Ленин ме погледна доста учуден:- Вие сте учен мъж и европеец и аз мога да ви кажа сега всичко направо. Остана ми малко време, така че мога да си го позволя. Нали сам Маркс ни учеше, че теориите имат само фиктивна стойност, че са инструмент. Той беше един обикновен, дребен буржоа, при това евреин, възседнал английската сатистика, таен почитател на индустриалната революция. Липсваха му твърде много неща. Мозъкът му се бе промил от бирата и хегелианството, но понякога неговият приятел Енгелс го инжектираше с гениални идеи, освен, че го издържаше през целия му живот, защото Маркс всъщност живя като паразит. Руската революция е всъщност пълно опровержение на пророчествата на Маркс. Комунизмът възтържествува в страна, където почти нямаше буржоазия и истински развит капитализъм...Хората, господин Папини, са всъщност страхливи животни, които се нуждаят от управлението на силни господари без скрупули. Всичко друго е празни приказки, литература, философия. И след като повечето са престъпници, държавата лесно може да се превърне в затвор, каторга. Старата каторга от царско време е всъщност последната дума на истинската вътрешна политика. Ако се замислите, ще разберете, че животът в затвора е подходящ за повечето от хората на този свят. Само когато не са свободни, каквито всъщност са повечето хора, те могат да живеят спокойно, без да вършат престъпления. тогава и за властта ще е по- добре. В затвора човек живее много по- добре и по - спокойно, няма никакви мисли и грижи, тялото си почива, духът също. Знае,че има осигурена храна, и подслон, дори ако не работи и е болен. Докато свободните хора трябва да мислят за насъщния всеки божи ден. Мисля, че за нащата Русия е много по- добре да ве бъде свободна страна... Свободата и демокрацията са за висококултурните, развитите страни... Не мислите, че казвам всичко това от егоизъм. В система като нашата най- зле са пазителите на реда и управляващите!Ленин замълча и започна да попълва с цветен молив лисунка, която, доколкото разбрах, изобразяваше висока кула с много прозорци.- А селяните, господин Улянов ?- Ще бъда откровен и ще ви призная, че мразя селяните - отговори Владимир Илич с нескрито отвращение.- Мразя руския мужик, идеализиран от този глупав западняк Тургенев и от лицемерния сатир граф Толстой. Селяните са точно това, което презирам най- много: миналото, вярата, ересите, християнската църква, религиозните обреди, ръчния труд, газената лампа! Пронуден съм да ги толерирам сега, да ги култивирам, но признавам: мразя ги! Бих искал изобщо да ги няма, да изчезнат като класа! До последния! За мен един електротехник струва колкото хиляда мужици! А знаете, че електрификацията е основата на прогреса! Нашият лозунт е: «Съветска власт плюс електрификация!» Мисля, че ще дойде времето, в което ще започнем да се храним с продукти, произведени по химически път в нашите лаборатории, и тогава селяните като класа ще станат напълно излишни. Мужиците ще се превърнат в работници, а селото постепенно ще замре и изчезне...Помислете си, господине, болшевизмът е всъщност тройна война: на неграмотните варвари срещу корумпираните интелектуалци, на Изтока срещу Запада, на града срещу селото. В тази война отделният индивид ще бъде ликвидиран, защото отделната личност всъщност няма особена стойност...Не, не мислете, че съм толкова жесток. Екзекуциите ме отвращават. Но съм принуден от обстоятелствата да ги разрешавам. Странно е да разполагаш със съдбите на хората. Аз съм нещо като местен полубог в една държава между Изтока и Запада. Но все пак мога да си позволя някои капризи. Жертвоприношенията, които знаем от езическите времена, са имали своя висок смисъл. Били са и залог за успеха на празника... А сега, вместо химна на вярващите, аз чувам виковете на затворниците и на осъдените на смърт. И ви уверявам, господине, че те звучат като ода, възвестяваща бъдещото ни блаженство...Стори ми се, че Ленин изведнъж се затвори в себе си, за да чуе още веднъж тази «музика», достъпна само за неговия слух...След малко се появи другарката Крупская и ме предупреди, че съпругът й е уморен и много болен.Изхарчих двадесет хиляди долара, за да видя жив този легендарен мъж, и мисля, че не сгреших...Преведе от италиански: ОГНЯН СТАМБОЛИЕВ из сб. «Разговорите на Гог»,Милано, 1936

неделя, 30 ноември 2008 г.

И така, някъде в края на август 1969 г. хората от сумрака установяват тотално наблюдение върху мене и семейството ми.

Мога да говоря само за тези, които са писали преди и сега също продължават да пишат. Почти е невъзможно да имаш ясна преценка за онова време, когато целият ти живот е протекъл в условията на соц-карнавала, в който си спасявал части от себе си, а други си предавал, за да може да публикуваш. Аз спокойно мога да кажа, че Йордан Радичков е един пример за високо талантливия човек, който е предал част от себе си, за да публикува и да бъде игран в театъра. Представяте ли си какво означава подобен живот – толкова труден и суров заради позорния елемент в него, че постоянно се преструваш? Един български писател ме срещна малко след промените на улицата и директно ми каза: „ама те, ако мислят, че аз сега ще отрека живота си, много се лъжат!” Знаете ли какво означава изведнъж да откриеш, че ти нищо не си правил?! Че всички тези страници, които си изписал, всъщност не струват, защото не са създадени в условия на твоята свобода. След един такъв живот човек трудно би могъл да каже: „след мен виждам купчини боклук”.

Следеният човек


Sofia est une ville sous l'emprise des ténèbres. Ce qui est certain, c'est qu'entre quinze et seize ans je n'avais pas pleinement conscience de ma responsabilité morale et je n'étais encore qu'un homme en projet.C'était, par exemple, l'idée chaque jour discrètement distillée que « celui qui est devant moi » ou « autrui » est aussi important que moi. Ou encore le fréquent rappel, par divers moyens pédagogiques, que la forme revêtue par notre vie importe tout autant que la vie elle-même.